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Affaire DSK: sur le tapis rouge de Cannes
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Re: Affaire DSK: sur le tapis rouge de Cannes
jacqueline a écrit:Pas de nouvelles de DSK dernièrement?
Savons nous, quand il sera poursuivi en Amérique pour ses défaillances ?
Des procédures judiciaires en cours
Sur le strict plan juridique, l’ancien directeur du FMI est impliqué dans deux affaires. Aux Etats-Unis d’abord, avec la plainte au civil de Nafissatou Diallo, que la juge a refusé de classer comme le réclamaient les avocats après l’abandon des poursuites au pénal. La procédure pourrait cependant prendre fin à tout moment en cas d’arrangement entre les parties. En France, le nom de Dominique Strauss-Kahn est apparu dans l’affaire du Carlton de Lille.
L’ancien directeur du FMI a été mis en examen pour «proxénétisme aggravé en bande organisée», mais une requête supplétive pour «viol en réunion» a été déposée par le parquet de Lille pour des faits qui se seraient déroulés au cours d’une soirée à Washington à laquelle assistaient les mêmes protagonistes. DSK conteste toutes les accusations.
leunam- Administrateur
Re: Affaire DSK: sur le tapis rouge de Cannes
Anne Sinclair va «très bien» depuis sa séparation d'avec DSK
Anne Sinclair, le 12 mars 2012, sur le plateau du «Grand Journal» de Canal J.DEMARTHON / AFP
MEDIAS - Elle confirme implicitement les faits dans un entretien au «Parisien»...
«Je vais très bien, merci». C’est par ces nouvelles rassurantes qu’Anne Sinclair a confirmé implicitement, dans un entretien au Parisien paru ce vendredi, qu’elle était séparée de Dominique Strauss-Kahn.
«J’ai bonne mine, j’ai pris des vacances, je retravaille durement, je suis à fond sur les élections américaines», ajoute-t-elle, évoquant également «un lien très fort» avec les enfants nés des précédentes unions de l’ex-directeur du FMI qu’elle considère comme les siens.
«N’offense pas qui veut»
Très positive, Anne Sinclair parle de son actualité (la bonne réussite du Huffington Post français, un futur partenariat avec France Inter pour les élections américaines), sans éluder les fictions à venir sur l’affaire DSK.
Si elle n’a pas plus d’informations sur le film d’Abel Ferrara avec Gérard Depardieu et Isabelle Adjani, elle indique être prête à rencontrer cette dernière, sauf pour évoquer l’affaire en question. «En France, la presse est libre, ô combien, l’édition est libre, ô combien, le cinéma est libre, ô combien. Et moi, je suis libre de mener ma vie comme je l’entends sans en rendre compte à quiconque», explique Anne Sinclair qui reprend à son compte une citation de François Mitterrand: «N’offense pas qui veut».
Enfin, Anne Sinclair prend implicitement la défense du gouvernement actuel, trouvant «la société française extraordinairement impatiente»: «Comme si se libérer de Nicolas Sarkozy suffisait à restaurer l’emploi, la compétitivité, la situation dramatique des comptes publics…» Si elle entend bien l’inquiétude des Français, elle leur rappelle qu’«il n’y a pas de baguette magique».
Corentin Chauvel
http://www.20minutes.fr/article/993771/anne-sinclair-va-tres-bien-depuis-separation-dsk
Anne Sinclair, le 12 mars 2012, sur le plateau du «Grand Journal» de Canal J.DEMARTHON / AFP
MEDIAS - Elle confirme implicitement les faits dans un entretien au «Parisien»...
«Je vais très bien, merci». C’est par ces nouvelles rassurantes qu’Anne Sinclair a confirmé implicitement, dans un entretien au Parisien paru ce vendredi, qu’elle était séparée de Dominique Strauss-Kahn.
«J’ai bonne mine, j’ai pris des vacances, je retravaille durement, je suis à fond sur les élections américaines», ajoute-t-elle, évoquant également «un lien très fort» avec les enfants nés des précédentes unions de l’ex-directeur du FMI qu’elle considère comme les siens.
«N’offense pas qui veut»
Très positive, Anne Sinclair parle de son actualité (la bonne réussite du Huffington Post français, un futur partenariat avec France Inter pour les élections américaines), sans éluder les fictions à venir sur l’affaire DSK.
Si elle n’a pas plus d’informations sur le film d’Abel Ferrara avec Gérard Depardieu et Isabelle Adjani, elle indique être prête à rencontrer cette dernière, sauf pour évoquer l’affaire en question. «En France, la presse est libre, ô combien, l’édition est libre, ô combien, le cinéma est libre, ô combien. Et moi, je suis libre de mener ma vie comme je l’entends sans en rendre compte à quiconque», explique Anne Sinclair qui reprend à son compte une citation de François Mitterrand: «N’offense pas qui veut».
Enfin, Anne Sinclair prend implicitement la défense du gouvernement actuel, trouvant «la société française extraordinairement impatiente»: «Comme si se libérer de Nicolas Sarkozy suffisait à restaurer l’emploi, la compétitivité, la situation dramatique des comptes publics…» Si elle entend bien l’inquiétude des Français, elle leur rappelle qu’«il n’y a pas de baguette magique».
Corentin Chauvel
http://www.20minutes.fr/article/993771/anne-sinclair-va-tres-bien-depuis-separation-dsk
leunam- Administrateur
Re: Affaire DSK: sur le tapis rouge de Cannes
Anne Sinclair remplacée par Myriam L’Aouffir dans le coeur de DSK
Anne Sinclair est remplacée dans le coeur de DSK, dont elle a confirmé la rupture à demi-mot dans le Parisien, par Myriam L’Aouffir, une française d’origine marocaine.
Celle que l’ancien patron du Fond Monétaire International présente comme celle qui partage sa vie est Myriam L’Aouffir qui occupe un poste de responsabilité à « France Télévision ». « VSD », le premier à avoir révélé cette relation n’a pas précisé l’intitulé du poste occupée par cette quadragénaire qui a réussi à rendre le sourire à DSK, affaibli par ses nombreux déboires consécutifs à l’affaire du Sofitel.
D’après « Bladi.net » souvent très bien informé, la nouvelle compagne de DSK est connue dans son pays d’origine pour avoir lancé «Juste pour Eux», une association venant en aide aux victimes du séisme d’Al Hoceima, une ville située au nord du Maroc.
Cette association est parrainée par Gad Elmaleh, également d’origine marocaine.
Myriam L’Aouffir est diplômée en Lettres modernes de l’université de Montpellier.
leunam- Administrateur
- Age : 70
Re: Affaire DSK: sur le tapis rouge de Cannes
DSK fait peur aux chaînes de télé
Aucune chaîne française n'a accepté, pour le moment, de financer le projet de film d'Abel Ferrara sur l'affaire du Sofitel de New York.
© Ciné
L'affaire DSK est un bon filon pour la presse et l'édition. Le cinéaste Abel Ferrara (The King of New York, Bad Lieutenant, Nos Funérailles) devait penser qu'elle en était aussi un pour le cinéma.
Le cinéaste américain projette de réaliser un film sur l'affaire du Sofitel de New York le 14 mai 2011 avec Gérard Depardieu dans le rôle de Dominique Strauss-Kahn et Isabelle Adjani dans celui d'Anne Sinclair.
Mais il n'est pas certain que ce projet voit le jour car, selon Le Parisien, aucune chaîne de télévision française n'a accepté de le financer à ce jour. Même refus du côté des producteurs de l'Hexagone. Le tournage, qui devrait commencer cet automne et se dérouler à New York, Washington et Paris, est donc compromis.
Les acteurs, eux, se disent toujours partants pour se glisser dans la peau de l'ancien patron du Fonds monétaire international (FMI) et de son épouse, aujourd'hui directrice du site français du Huffignton Post. Même s'ils n'ont aucune empathie avec eux. Fin août, Isabelle Adjani avait méchamment critiqué le physique d'Anne Sinclair dans Le Grand Journal sur Canal , affirmant : « Je ne vais pas prendre dix kilos de plus » pour ce rôle.
la télévision, le scandale de New York a déjà inspiré un épisode de la série américaine New York Unité Spéciale, qui a été diffusée intégralement le 10 juillet sur TF1. Dominique Strauss-Kahn y était remplacé par un haut fonctionnaire italien Roberto Di Stasio, puissant et fortuné, accusé d'avoir violé Myriam Deng, la femme de chambre d'un hôtel new yorkais, originaire du Soudan et réfugiée politique aux États-Unis.
Gérard Miller planche, de son côté, sur un documentaire intitulé L'homme qui voulait tout. Réalisé pour France 3 qui pourrait le diffuser au printemps, le film racontera le parcours de l'ancien directeur général du FMI.
Les déboires de DSK ont donné lieu à une série de livres: Les Strauss-Kahn (Albin Michel) dans lequel Raphaëlle Bacqué et Ariane Chemin reviennent sur l'ascension du couple puis sa chute ; Chaos brûlant (Seuil) de Stéphane Zagdanski qui met en scène DSK et Nafissatou Diallo. Dans le roman policier américain Night Watch, Linda Fairsten, ancienne directrice de la section des affaires sexuelles au bureau du procureur de New York, retrace l'histoire du directeur d'un organisme international tout puissant et obsédé sexuel.
Ils ont aussi inspiré les auteurs de théâtre : la pièce Suite 2806 de Guillaume Landrot avec Éric Debrosse en DSK sera jouée à partir du 21 novembre au Théâtre Daunou à Paris et un spectacle a déjà été donné au Théâtre de la Tempête.
Aucune chaîne française n'a accepté, pour le moment, de financer le projet de film d'Abel Ferrara sur l'affaire du Sofitel de New York.
© Ciné
L'affaire DSK est un bon filon pour la presse et l'édition. Le cinéaste Abel Ferrara (The King of New York, Bad Lieutenant, Nos Funérailles) devait penser qu'elle en était aussi un pour le cinéma.
Le cinéaste américain projette de réaliser un film sur l'affaire du Sofitel de New York le 14 mai 2011 avec Gérard Depardieu dans le rôle de Dominique Strauss-Kahn et Isabelle Adjani dans celui d'Anne Sinclair.
Mais il n'est pas certain que ce projet voit le jour car, selon Le Parisien, aucune chaîne de télévision française n'a accepté de le financer à ce jour. Même refus du côté des producteurs de l'Hexagone. Le tournage, qui devrait commencer cet automne et se dérouler à New York, Washington et Paris, est donc compromis.
Les acteurs, eux, se disent toujours partants pour se glisser dans la peau de l'ancien patron du Fonds monétaire international (FMI) et de son épouse, aujourd'hui directrice du site français du Huffignton Post. Même s'ils n'ont aucune empathie avec eux. Fin août, Isabelle Adjani avait méchamment critiqué le physique d'Anne Sinclair dans Le Grand Journal sur Canal , affirmant : « Je ne vais pas prendre dix kilos de plus » pour ce rôle.
la télévision, le scandale de New York a déjà inspiré un épisode de la série américaine New York Unité Spéciale, qui a été diffusée intégralement le 10 juillet sur TF1. Dominique Strauss-Kahn y était remplacé par un haut fonctionnaire italien Roberto Di Stasio, puissant et fortuné, accusé d'avoir violé Myriam Deng, la femme de chambre d'un hôtel new yorkais, originaire du Soudan et réfugiée politique aux États-Unis.
Gérard Miller planche, de son côté, sur un documentaire intitulé L'homme qui voulait tout. Réalisé pour France 3 qui pourrait le diffuser au printemps, le film racontera le parcours de l'ancien directeur général du FMI.
Les déboires de DSK ont donné lieu à une série de livres: Les Strauss-Kahn (Albin Michel) dans lequel Raphaëlle Bacqué et Ariane Chemin reviennent sur l'ascension du couple puis sa chute ; Chaos brûlant (Seuil) de Stéphane Zagdanski qui met en scène DSK et Nafissatou Diallo. Dans le roman policier américain Night Watch, Linda Fairsten, ancienne directrice de la section des affaires sexuelles au bureau du procureur de New York, retrace l'histoire du directeur d'un organisme international tout puissant et obsédé sexuel.
Ils ont aussi inspiré les auteurs de théâtre : la pièce Suite 2806 de Guillaume Landrot avec Éric Debrosse en DSK sera jouée à partir du 21 novembre au Théâtre Daunou à Paris et un spectacle a déjà été donné au Théâtre de la Tempête.
leunam- Administrateur
- Age : 70
Re: Affaire DSK: sur le tapis rouge de Cannes
Dominique Strauss-Kahn - Nafissatou Diallo : Un accord financier trouvé ?
Dominique Strauss-Kahn est-il tiré d'affaire à New York ? L'ancien président du Fonds monétaire international (FMI) et Nafissatou Diallo, qui l'accuse de l'avoir contrainte à une fellation, seraient parvenus à un accord financier, selon une source proche du dossier citée par le New York Times.
Si les charges retenues au pénal contre Dominique Strauss-Kahn dans l'affaire du Sofitel ont été abandonnées en août 2011, son accusatrice n'a pas manqué de porter l'affaire au civil dans un tribunal du Bronx. Le juge Douglas McKeon n'a pas souhaité commenter l'information du New York Times selon laquelle les deux parties auraient convenu d'un accord financier, accord qui éviterait la tenue d'un procès. Ces pratiques sont monnaie courante outre-Atlantique, leur montant peut atteindre des millions de dollars. La somme que pourrait céder le camp DSK à Nafissatou Diallo n'a évidemment pas été révélée, mais le site du quotidien Le Monde avance qu'elle s'élèverait à 6 millions de dollars. Le juge McKeon a confirmé à l'AFP qu'une audience pourrait avoir lieu "dès la semaine prochaine au tribunal". Audience qui pourrait mettre un point final à ce triste feuilleton judiciaire entamé en mai 2011 et qui a forcé DSK à démissionner du FMI tout en enterrant ses probables ambitions présidentielles.
Devant le tribunal du Bronx, les avocats de Dominique Strauss-Kahn avaient tenté de faire valoir son immunité diplomatique. Sans succès. DSK contre-attaquait en portant plainte contre Nafissatou Diallo. Il accusait la femme de chambre d'avoir "en toute connaissance de cause, et intentionnellement, faussement affirmé qu'il l'avait agressée sexuellement le 14 mai 2011". Dans ce document de 17 pages, Dominique Strauss-Kahn accuse Nafissatou Diallo de "poursuites calomnieuses", d'"abus de procédure" et de "diffamation". Il lui reproche son emprisonnement et le fait de lui avoir "volontairement infligé une souffrance émotionnelle." DSK n'a reconnu qu'une brève relation sexuelle "inappropriée" et a toujours démenti toute violence ou contrainte.
Invité à réagir, Harlem Désir, le numéro un du Parti socialiste, a déclaré à l'AFP : "C'est la justice, telle qu'elle fonctionne aux États-Unis, qui laissera peut-être le regret de ne pas avoir su le dévoilement de la vérité jusqu'au bout, a observé le Premier secrétaire du PS. Mais si c'est la fin d'une procédure pénible pour tous, il faut probablement s'en réjouir."
Reste l'affaire dite du Carlton de Lille. Après avoir été menacé par une enquête préliminaire pour viol en réunion, depuis abandonnée, DSK reste mis en examen pour "proxénétisme aggravé". Le mois dernier, l'ex-compagnon d'Anne Sinclair brisait son silence dans Le Point et demandait à ce qu'on le laisse tranquille : "Rien ne justifie que je sois devenu l'objet d'une traque médiatique, expliquait Dominique Strauss-Kahn. Je ne suis plus un politique, mais pas non plus un people.
Dominique Strauss-Kahn est-il tiré d'affaire à New York ? L'ancien président du Fonds monétaire international (FMI) et Nafissatou Diallo, qui l'accuse de l'avoir contrainte à une fellation, seraient parvenus à un accord financier, selon une source proche du dossier citée par le New York Times.
Si les charges retenues au pénal contre Dominique Strauss-Kahn dans l'affaire du Sofitel ont été abandonnées en août 2011, son accusatrice n'a pas manqué de porter l'affaire au civil dans un tribunal du Bronx. Le juge Douglas McKeon n'a pas souhaité commenter l'information du New York Times selon laquelle les deux parties auraient convenu d'un accord financier, accord qui éviterait la tenue d'un procès. Ces pratiques sont monnaie courante outre-Atlantique, leur montant peut atteindre des millions de dollars. La somme que pourrait céder le camp DSK à Nafissatou Diallo n'a évidemment pas été révélée, mais le site du quotidien Le Monde avance qu'elle s'élèverait à 6 millions de dollars. Le juge McKeon a confirmé à l'AFP qu'une audience pourrait avoir lieu "dès la semaine prochaine au tribunal". Audience qui pourrait mettre un point final à ce triste feuilleton judiciaire entamé en mai 2011 et qui a forcé DSK à démissionner du FMI tout en enterrant ses probables ambitions présidentielles.
Devant le tribunal du Bronx, les avocats de Dominique Strauss-Kahn avaient tenté de faire valoir son immunité diplomatique. Sans succès. DSK contre-attaquait en portant plainte contre Nafissatou Diallo. Il accusait la femme de chambre d'avoir "en toute connaissance de cause, et intentionnellement, faussement affirmé qu'il l'avait agressée sexuellement le 14 mai 2011". Dans ce document de 17 pages, Dominique Strauss-Kahn accuse Nafissatou Diallo de "poursuites calomnieuses", d'"abus de procédure" et de "diffamation". Il lui reproche son emprisonnement et le fait de lui avoir "volontairement infligé une souffrance émotionnelle." DSK n'a reconnu qu'une brève relation sexuelle "inappropriée" et a toujours démenti toute violence ou contrainte.
Invité à réagir, Harlem Désir, le numéro un du Parti socialiste, a déclaré à l'AFP : "C'est la justice, telle qu'elle fonctionne aux États-Unis, qui laissera peut-être le regret de ne pas avoir su le dévoilement de la vérité jusqu'au bout, a observé le Premier secrétaire du PS. Mais si c'est la fin d'une procédure pénible pour tous, il faut probablement s'en réjouir."
Reste l'affaire dite du Carlton de Lille. Après avoir été menacé par une enquête préliminaire pour viol en réunion, depuis abandonnée, DSK reste mis en examen pour "proxénétisme aggravé". Le mois dernier, l'ex-compagnon d'Anne Sinclair brisait son silence dans Le Point et demandait à ce qu'on le laisse tranquille : "Rien ne justifie que je sois devenu l'objet d'une traque médiatique, expliquait Dominique Strauss-Kahn. Je ne suis plus un politique, mais pas non plus un people.
leunam- Administrateur
- Age : 70
Re: Affaire DSK: sur le tapis rouge de Cannes
6 millions de dollars pour une brève relation sexuelle "inappropriée"
Joris- Bibiche team stars
Re: Affaire DSK: sur le tapis rouge de Cannes
Portrait de DSK sur France 3 : l’indécent plaidoyer de Gérard Miller
Par Thierry de Cabarrus
Chroniqueur politique
LE PLUS. Mercredi soir, France 3 diffusait un documentaire sur Dominique Strauss-Kahn, réalisé par le psychanalyste Gérard Miller et Anaïs Feuillette. "DSK, l'homme qui voulait tout" retrace la vie de l'ancien patron du FMI pour qui tout a basculé. Pour notre chroniqueur Thierry de Cabarrus, le film est un plaidoyer en faveur de DSK, une fiction qui a peu à voir avec la réalité.
Au bout d’une heure d’un film en forme de plaidoyer impeccable (même s’il s’en défend), Miller nous amène à la conviction que l’ancien patron du FMI ne pouvait faire autrement que de tomber de son Olympe. Tout était écrit dès sa plus tendre enfance, nous dit-il, qu’il ne respecterait ni les femmes, ni lui-même, qu’il sacrifierait son destin de président annoncé au plaisir immédiat volé dans un hôtel, bref, qu’il s’autodétruirait sans voir, au fil de sa vie, toutes ces alertes qui aurait dû le pousser à la prudence et à raccourcir les rênes dans sa course folle à la jouissance.
Du vrai, du probable, du possible
C’est trop facile, de réécrire une vie à l’envers, et de la dérouler à partir de sa fin, en renouant les fils un à un pour démontrer l’impossible, à savoir une certaine forme d’innocence. Cela s’appelle réécrire l’histoire avec talent, certes, mais reconstruire une vérité invérifiable comme on ravaude, comme on réalise un patchwork avec du vrai, du probable et aussi du possible, en disant : "regardez, l’histoire que je vous raconte est forcément la vraie puisqu’il y a des éléments avérés".
En fait, ce recours à la psychanalyse m’a gêné tout au long du film et je crois avoir compris pourquoi. Autant il est communément recommandé dans le secret d’une relation psychothérapeutique entre un praticien et un patient, autant il me semble que faire appel à Freud pour évoquer dans le débat public l’histoire lamentable de Dominique Strauss-Kahn à New York ou ses frasques à Lille me paraît à la fois grossier et dérisoire.
D’un côté, il s’agit d’un procédé d’investigation psychique pour alléger une souffrance intime alors que de l’autre, cela consiste, me semble-t-il, à utiliser une ficelle un peu grosse, pour tenter de dédouaner l’ancien patron du FMI d’une partie de ses responsabilités. C’est, je le répète, un plaidoyer.
Il n'est pas "la Bête du Gévaudan"
Pour avoir fréquenté les prétoires à une époque de ma carrière professionnelle, je peux témoigner qu’en cour d’assises, quand l’accusé semble condamné par avance, son avocat se jette à corps perdu dans la psychanalyse, remonte à l’enfance malheureuse de son client, déroule la pelote de sa vie comme on va à la pêche au gros et en remonte à la surface deux ou trois histoires touchantes destinées à impressionner les jurés et à les attendrir.
C’est ce qu’a fait Gérard Miller dans "DSK, l’homme qui voulait tout". Et il a entrepris de démontrer que son "client" n’était pas "la bête du Gévaudan", dont les médias avaient dressé le portrait, et qu’il n’était pas non plus "l’enfant obscène de Jacques l’Éventreur". On le voit, il ne fait pas dans la nuance.
Alors, le documentariste nous emmène au Maroc où DSK a vécu enfant, et il nous montre une ville, et des photos en noir et blanc. On y voit Gilbert Strauss, son père juriste, franc-maçon, socialiste, volage et velléitaire. Comme lui plus tard, suggère Miller en voix off.
On y voit aussi Gaston et Yvonne Strauss, ses grands-parents, mais aussi Marius Kahn, l’amant d’Yvonne toléré par Gaston. Un couple à trois assumé, un secret que DSK apprendra plus tard et qui le poussera à accoler à son nom le patronyme de ce grand-père adoptif : Dominique Strauss-Kahn.
Un geste dans lequel notre avocat de France 3 voit un symbole déterminant. DSK comme Marius, jettera la morale aux orties au nom du seul plaisir. Mais Me Miller va encore plus loin : il n’hésite pas à convoquer le tremblement de terre d’Agadir en 1960 pour annoncer la vie pleine de secousses de son client : cette ville de 30.000 habitants rasée d’un coup et ce petit garçon qui échappe de peu à la mort.
En ténor du barreau, Miller donne à voir le traumatisme de cet élève de sixième et s’appuie sur Freud pour nous décrire "un homme d’une libido à ciel ouvert qui a peur d’être enterré vivant sous les contraintes". C’est beau comme une plaidoirie d’assises, j’ai le sentiment d’entendre cette voix enfler dans un tribunal.
Les témoins à décharge
Ensuite, Me Miller appelle à la barre ses témoins à décharge : tout à tour, son ami de lycée, le prêtre de Joigny, son compagnon d’armes, Jean-Christophe Cambadélis dit Aramis quand DSK se prend pour d’Artagnan, Pascal Perrineau, de Science-Po, Jack Lang qui l’a connu professeur d’économie à Nancy. Viennent ensuite témoigner deux femmes journalistes, Raphaëlle Bacqué et Ariane Chemin, auteures de "Les Strauss-Kahn" (Albin Michel).
Tous nous apprennent que le patron du FMI a été sculpté par trois femmes, Hélène, la première épousée à 18 ans, qui travaillera pour lui payer ses études et lui fera trois enfants ; Brigitte, la deuxième, qui est dans la communication et qui va le métamorphoser : elle lui rase sa barbe de petit prof, lui retire ses lunettes et sa bouffarde et le pousse sur les plateaux de télévision ; Anne, la troisième, rencontrée sur le plateau de "7 sur 7" lui ouvrira son carnet d’adresse, lui offrira sa fortune et en fera un people aimé des Français.
Gérard Miller, avec talent, nous ramène subrepticement dans l'ambiance du film de François Truffaut, "L'Homme qui aimait les femmes". Il est vrai qu'il y a un point commun : d'un côté, Charles Denner est décédé et de l'autre, DSK est mort à la politique.
Mais on est en 1997, et pour notre anti-héros, c’est le succès, l’entrée au ministère de l’Économie dans le gouvernement Jospin. Ariane Chemin décrit "l’ambiance érotisée" à Bercy ; Raphaëlle Bacqué évoque "son appartement privé transformé en garçonnière" dans laquelle, presque tous les soirs à 17 heures, il monte avec une femme. "C’est presque écrit dans son agenda", dit-elle.
Se couper le petit doigt ?
Gérard Miller insiste sur le succès qui, peut-être, lui monte à la tête, nous montre un DSK jouisseur incapable de réfréner ses désirs, qui va multiplier les imprudences, refuser les contraintes, passer outre les nombreuses alertes qui ont failli briser sa carrière et qui auraient dû le pousser à changer. Il passe rapidement sur le scandale de la Mnef, l’affaire Méri puis celle du Cercle de l’Industrie. Trois non-lieux, mais une démission de son poste de ministre.
Cambadélis réjouit alors Me Miller : il lui raconte qu’il engueule DSK en le comparant au potier maladroit de "Zorba le Grec" qui tournait des pots parfaits, mais les brisait avec son petit doigt. Jusqu’au jour où l’artisan se l’est coupé pour préserver sa vocation.
Quoi de mieux qu’un auriculaire pour un psychanalyste, surtout quand il s’agit de sexe ? Dès lors, Miller file la métaphore, explique que DSK n’a pas le courage de se couper le petit doigt et qu’il va ainsi briser sa carrière politique comme une poterie fragile.
On connaît la suite. Le documentariste achève ainsi "l’histoire d’un homme dont ses amis sous-estimaient la jouissance", d’un homme "incapable de se contraindre", qui était à la fois le mari d’une femme exceptionnelle et un libertin invétéré, qui était "l’égal d’Obama et le compère des pieds nickelés de Lille".
Une fiction indécente?
C’est beau, c’est écrit de manière littéraire et raconté comme un roman-photo, un peu à la manière du Frédéric Mitterrand de "Étoiles et toiles" à la télévision. Sauf que ce n’est pas la vie de Dominique Strauss-Kahn qui nous est ici racontée. Ce n'est ni l'œuvre d'un historien, ni celle d'un journaliste.
C’est une vie reconstruite, revisitée, ravaudée, révisée. C’est une existence fantasmée, rafistolée avec le regard freudien de celui qui la raconte. On pourrait presque dire que c’est un film de fiction, une histoire avec un parti pris réinventée par un artiste.
Mais la personnalité de DSK est si forte, son histoire si vive encore dans les mémoires que le pari de l'auteur est manqué : il ne reste, à mon avis qu'un plaidoyer indécent pour un homme qui a trahi non seulement sa femme, ses amis, mais aussi les Français.
Par Thierry de Cabarrus
Chroniqueur politique
LE PLUS. Mercredi soir, France 3 diffusait un documentaire sur Dominique Strauss-Kahn, réalisé par le psychanalyste Gérard Miller et Anaïs Feuillette. "DSK, l'homme qui voulait tout" retrace la vie de l'ancien patron du FMI pour qui tout a basculé. Pour notre chroniqueur Thierry de Cabarrus, le film est un plaidoyer en faveur de DSK, une fiction qui a peu à voir avec la réalité.
"DSK, l'homme qui voulait tout" de Gérard Miller et Anaïs Feuillette (YouTube)
DSK, L'HOMME QUI VOULAIT TOUT. On aime ou on déteste Gérard Miller, mais le psychanalyste le plus connu de France, le chroniqueur de Laurent Ruquier ne laisse pas indifférent, c’est le moins que l’on puisse dire. Cet intellectuel brillant qui, adolescent, pratiquait l’hypnose, a utilisé, ce mercredi soir, sur France 3, avec une habileté certaine ce qu’il l'appelle son "regard freudien" pour dresser un portrait à la décharge de Dominique Strauss-Kahn dans un documentaire à la fois brillant et agaçant intitulé : "DSK, l’homme qui voulait tout".Au bout d’une heure d’un film en forme de plaidoyer impeccable (même s’il s’en défend), Miller nous amène à la conviction que l’ancien patron du FMI ne pouvait faire autrement que de tomber de son Olympe. Tout était écrit dès sa plus tendre enfance, nous dit-il, qu’il ne respecterait ni les femmes, ni lui-même, qu’il sacrifierait son destin de président annoncé au plaisir immédiat volé dans un hôtel, bref, qu’il s’autodétruirait sans voir, au fil de sa vie, toutes ces alertes qui aurait dû le pousser à la prudence et à raccourcir les rênes dans sa course folle à la jouissance.
Du vrai, du probable, du possible
C’est trop facile, de réécrire une vie à l’envers, et de la dérouler à partir de sa fin, en renouant les fils un à un pour démontrer l’impossible, à savoir une certaine forme d’innocence. Cela s’appelle réécrire l’histoire avec talent, certes, mais reconstruire une vérité invérifiable comme on ravaude, comme on réalise un patchwork avec du vrai, du probable et aussi du possible, en disant : "regardez, l’histoire que je vous raconte est forcément la vraie puisqu’il y a des éléments avérés".
En fait, ce recours à la psychanalyse m’a gêné tout au long du film et je crois avoir compris pourquoi. Autant il est communément recommandé dans le secret d’une relation psychothérapeutique entre un praticien et un patient, autant il me semble que faire appel à Freud pour évoquer dans le débat public l’histoire lamentable de Dominique Strauss-Kahn à New York ou ses frasques à Lille me paraît à la fois grossier et dérisoire.
D’un côté, il s’agit d’un procédé d’investigation psychique pour alléger une souffrance intime alors que de l’autre, cela consiste, me semble-t-il, à utiliser une ficelle un peu grosse, pour tenter de dédouaner l’ancien patron du FMI d’une partie de ses responsabilités. C’est, je le répète, un plaidoyer.
Il n'est pas "la Bête du Gévaudan"
Pour avoir fréquenté les prétoires à une époque de ma carrière professionnelle, je peux témoigner qu’en cour d’assises, quand l’accusé semble condamné par avance, son avocat se jette à corps perdu dans la psychanalyse, remonte à l’enfance malheureuse de son client, déroule la pelote de sa vie comme on va à la pêche au gros et en remonte à la surface deux ou trois histoires touchantes destinées à impressionner les jurés et à les attendrir.
C’est ce qu’a fait Gérard Miller dans "DSK, l’homme qui voulait tout". Et il a entrepris de démontrer que son "client" n’était pas "la bête du Gévaudan", dont les médias avaient dressé le portrait, et qu’il n’était pas non plus "l’enfant obscène de Jacques l’Éventreur". On le voit, il ne fait pas dans la nuance.
Alors, le documentariste nous emmène au Maroc où DSK a vécu enfant, et il nous montre une ville, et des photos en noir et blanc. On y voit Gilbert Strauss, son père juriste, franc-maçon, socialiste, volage et velléitaire. Comme lui plus tard, suggère Miller en voix off.
On y voit aussi Gaston et Yvonne Strauss, ses grands-parents, mais aussi Marius Kahn, l’amant d’Yvonne toléré par Gaston. Un couple à trois assumé, un secret que DSK apprendra plus tard et qui le poussera à accoler à son nom le patronyme de ce grand-père adoptif : Dominique Strauss-Kahn.
Un geste dans lequel notre avocat de France 3 voit un symbole déterminant. DSK comme Marius, jettera la morale aux orties au nom du seul plaisir. Mais Me Miller va encore plus loin : il n’hésite pas à convoquer le tremblement de terre d’Agadir en 1960 pour annoncer la vie pleine de secousses de son client : cette ville de 30.000 habitants rasée d’un coup et ce petit garçon qui échappe de peu à la mort.
En ténor du barreau, Miller donne à voir le traumatisme de cet élève de sixième et s’appuie sur Freud pour nous décrire "un homme d’une libido à ciel ouvert qui a peur d’être enterré vivant sous les contraintes". C’est beau comme une plaidoirie d’assises, j’ai le sentiment d’entendre cette voix enfler dans un tribunal.
Les témoins à décharge
Ensuite, Me Miller appelle à la barre ses témoins à décharge : tout à tour, son ami de lycée, le prêtre de Joigny, son compagnon d’armes, Jean-Christophe Cambadélis dit Aramis quand DSK se prend pour d’Artagnan, Pascal Perrineau, de Science-Po, Jack Lang qui l’a connu professeur d’économie à Nancy. Viennent ensuite témoigner deux femmes journalistes, Raphaëlle Bacqué et Ariane Chemin, auteures de "Les Strauss-Kahn" (Albin Michel).
Tous nous apprennent que le patron du FMI a été sculpté par trois femmes, Hélène, la première épousée à 18 ans, qui travaillera pour lui payer ses études et lui fera trois enfants ; Brigitte, la deuxième, qui est dans la communication et qui va le métamorphoser : elle lui rase sa barbe de petit prof, lui retire ses lunettes et sa bouffarde et le pousse sur les plateaux de télévision ; Anne, la troisième, rencontrée sur le plateau de "7 sur 7" lui ouvrira son carnet d’adresse, lui offrira sa fortune et en fera un people aimé des Français.
Gérard Miller, avec talent, nous ramène subrepticement dans l'ambiance du film de François Truffaut, "L'Homme qui aimait les femmes". Il est vrai qu'il y a un point commun : d'un côté, Charles Denner est décédé et de l'autre, DSK est mort à la politique.
Mais on est en 1997, et pour notre anti-héros, c’est le succès, l’entrée au ministère de l’Économie dans le gouvernement Jospin. Ariane Chemin décrit "l’ambiance érotisée" à Bercy ; Raphaëlle Bacqué évoque "son appartement privé transformé en garçonnière" dans laquelle, presque tous les soirs à 17 heures, il monte avec une femme. "C’est presque écrit dans son agenda", dit-elle.
Se couper le petit doigt ?
Gérard Miller insiste sur le succès qui, peut-être, lui monte à la tête, nous montre un DSK jouisseur incapable de réfréner ses désirs, qui va multiplier les imprudences, refuser les contraintes, passer outre les nombreuses alertes qui ont failli briser sa carrière et qui auraient dû le pousser à changer. Il passe rapidement sur le scandale de la Mnef, l’affaire Méri puis celle du Cercle de l’Industrie. Trois non-lieux, mais une démission de son poste de ministre.
Cambadélis réjouit alors Me Miller : il lui raconte qu’il engueule DSK en le comparant au potier maladroit de "Zorba le Grec" qui tournait des pots parfaits, mais les brisait avec son petit doigt. Jusqu’au jour où l’artisan se l’est coupé pour préserver sa vocation.
Quoi de mieux qu’un auriculaire pour un psychanalyste, surtout quand il s’agit de sexe ? Dès lors, Miller file la métaphore, explique que DSK n’a pas le courage de se couper le petit doigt et qu’il va ainsi briser sa carrière politique comme une poterie fragile.
On connaît la suite. Le documentariste achève ainsi "l’histoire d’un homme dont ses amis sous-estimaient la jouissance", d’un homme "incapable de se contraindre", qui était à la fois le mari d’une femme exceptionnelle et un libertin invétéré, qui était "l’égal d’Obama et le compère des pieds nickelés de Lille".
Une fiction indécente?
C’est beau, c’est écrit de manière littéraire et raconté comme un roman-photo, un peu à la manière du Frédéric Mitterrand de "Étoiles et toiles" à la télévision. Sauf que ce n’est pas la vie de Dominique Strauss-Kahn qui nous est ici racontée. Ce n'est ni l'œuvre d'un historien, ni celle d'un journaliste.
C’est une vie reconstruite, revisitée, ravaudée, révisée. C’est une existence fantasmée, rafistolée avec le regard freudien de celui qui la raconte. On pourrait presque dire que c’est un film de fiction, une histoire avec un parti pris réinventée par un artiste.
Mais la personnalité de DSK est si forte, son histoire si vive encore dans les mémoires que le pari de l'auteur est manqué : il ne reste, à mon avis qu'un plaidoyer indécent pour un homme qui a trahi non seulement sa femme, ses amis, mais aussi les Français.
Re: Affaire DSK: sur le tapis rouge de Cannes
que dire de cet article ? L'auteur oublie ce que disait Foucault à propos de l' Histoire et la Vérité. Il n'y a que des "histoires". G. Miller est parfaitement légitime à nous faire partager SON histoire de DSK. Un excellent doc qui nous livre des infos sur l'enfance, le contexte familial etc...
Où est le plaidoyer pro DSK ? Je ne l'ai pas vu. Tenter d'expliquer pourquoi il est fautif sans être juge d'une peine sanction. C'est le travail du psy. Et dans ce travail , la vie y est forcément reconstituée.
Mais quand l'auteur fini son article avec " il ne reste, à mon avis qu'un plaidoyer indécent pour un homme qui a trahi non seulement sa femme, ses amis, mais aussi les Français."
en quoi a-t'il trahi les Français ? En chutant, d'une certaine façon, il ouvre la voie à Hollande, et fait battre surement Sarko qui l'attendait pour le piéger. Ceux qu'il trahi, ce sont les personnes qui ont cru à la fiction de son intégrité et d'un destin présidentiel. Et ceux là , ne sont ni sa famille, ni sa femme, et ni ses amis fidèles. Il est qui Cabarrus pour savoir si ceux-ci ont été trahis ?
heureusement que Miller n'est ni historien, ni journaliste ... Ainsi on peut voir ce doc fiction pour ce qu'il est: un essai sans prétention à la Vérité historique ou journalistique, qui sont aussi des fictions .
Où est le plaidoyer pro DSK ? Je ne l'ai pas vu. Tenter d'expliquer pourquoi il est fautif sans être juge d'une peine sanction. C'est le travail du psy. Et dans ce travail , la vie y est forcément reconstituée.
Mais quand l'auteur fini son article avec " il ne reste, à mon avis qu'un plaidoyer indécent pour un homme qui a trahi non seulement sa femme, ses amis, mais aussi les Français."
en quoi a-t'il trahi les Français ? En chutant, d'une certaine façon, il ouvre la voie à Hollande, et fait battre surement Sarko qui l'attendait pour le piéger. Ceux qu'il trahi, ce sont les personnes qui ont cru à la fiction de son intégrité et d'un destin présidentiel. Et ceux là , ne sont ni sa famille, ni sa femme, et ni ses amis fidèles. Il est qui Cabarrus pour savoir si ceux-ci ont été trahis ?
heureusement que Miller n'est ni historien, ni journaliste ... Ainsi on peut voir ce doc fiction pour ce qu'il est: un essai sans prétention à la Vérité historique ou journalistique, qui sont aussi des fictions .
marcelo- Bibiche team stars
Affaire DSK:projet de film sur le scandale .
Jacqueline Bisset remplace Isabelle Adjani dans le film sur le scandale DSK
© ABACA
Jacqueline Bisset remplacera Isabelle Adjani dans le film d'Abel Ferrara sur le scandale DSK.
Au début du mois de mars, Isabelle Adjanicréait la surprise en annonçant qu'elle refusait finalement le rôle d'Anne Sinclair dans le projet de film d'Abel Ferrara sur le scandale Dominique Strauss-Khan.
Un rôle qu'elle avait pourtant accepté d'endosser avec enthousiasme, avant de retourner sa veste pour dénoncer "une intrusion destructrice dans la sphère privée de ces deux personnalités."
On s'interrogeait depuis sur la remplaçante idéale et quatre noms circulaient : Béatrice Dalle, Jodie Foster, Juliette Binoche et Kristin Scott Thomas. Finalement, c'est la BritanniqueJacqueline Bisset qui sera dans la peau de la sulfureuse femme bafouée, face à un DSK interprété par Gérard Depardieu.
L'actrice de 68 ans, qui parle couramment le français, a connu son heure de gloire dans les années 60 et 70, inspirant des réalisateurs comme Roman Polanski (Cul-de-sac), Peter Yates (Bullit) François Truffaut (La nuit américaine) et Philippe de Broca (Le magnifique) et côtoyant les plus grands acteurs de son époque.
Celle qui possède comme Anne Sinclair un regard d'un bleu profond signe ici son grand retour au cinéma, après des années consacrées au petit écran (Ally McBeal, Nip/Tuck, New York Unité Spéciale).
ET AUSSI :
Qui peut remplacer Isabelle Adjani dans le film sur DSK ?
Isabelle Adjani refuse finalement de jouer Anne Sinclair
© ABACA
Jacqueline Bisset remplacera Isabelle Adjani dans le film d'Abel Ferrara sur le scandale DSK.
Au début du mois de mars, Isabelle Adjanicréait la surprise en annonçant qu'elle refusait finalement le rôle d'Anne Sinclair dans le projet de film d'Abel Ferrara sur le scandale Dominique Strauss-Khan.
Un rôle qu'elle avait pourtant accepté d'endosser avec enthousiasme, avant de retourner sa veste pour dénoncer "une intrusion destructrice dans la sphère privée de ces deux personnalités."
On s'interrogeait depuis sur la remplaçante idéale et quatre noms circulaient : Béatrice Dalle, Jodie Foster, Juliette Binoche et Kristin Scott Thomas. Finalement, c'est la BritanniqueJacqueline Bisset qui sera dans la peau de la sulfureuse femme bafouée, face à un DSK interprété par Gérard Depardieu.
L'actrice de 68 ans, qui parle couramment le français, a connu son heure de gloire dans les années 60 et 70, inspirant des réalisateurs comme Roman Polanski (Cul-de-sac), Peter Yates (Bullit) François Truffaut (La nuit américaine) et Philippe de Broca (Le magnifique) et côtoyant les plus grands acteurs de son époque.
Celle qui possède comme Anne Sinclair un regard d'un bleu profond signe ici son grand retour au cinéma, après des années consacrées au petit écran (Ally McBeal, Nip/Tuck, New York Unité Spéciale).
ET AUSSI :
Qui peut remplacer Isabelle Adjani dans le film sur DSK ?
Isabelle Adjani refuse finalement de jouer Anne Sinclair
Re: Affaire DSK: sur le tapis rouge de Cannes
Pas de Nafissatou Diallo dans le film sur DSK
Contrairement aux propos d'Isabelle Adjani, la victime Nafissatou Diallo ne jouera pas son propre rôle dans le film tiré de l'affaire DSK.
Contrairement aux propos d'Isabelle Adjani, la victime Nafissatou Diallo ne jouera pas son propre rôle dans le film tiré de l'affaire DSK.
« C'est faux ! Je démens », a souligné l'avocat de Nafissatou Diallo à un journaliste de TF 1. La femme de chambre ne jouera donc pas son rôle dans ce film d’Abel Ferrari.
F.S.
F.S.
Re: Affaire DSK: sur le tapis rouge de Cannes
elle avait signé contre une grosse somme pour ne plus reparler de l'affaire.
marcelo- Bibiche team stars
Re: Affaire DSK: sur le tapis rouge de Cannes
Welcome to New York : Images sulfureuses de Gérard Depardieu en DSK
"Welcome to New York" - Depardieu dans le rôle... par thony911
Film-événement, Welcome to New York se dévoile encore un peu plus. Tandis que l'affiche teaser de ce long-métrage qui s'inspire du scandale DSK est visible dans les rues de Cannes, le directeur de la photographie du metteur en scène, Ken Kelsch, a posté les premiers extraits du projet sulfureux d'Abel Ferrara (Bad Lieutenant). Une vidéo qui devait être vue lors du Festival, mais visiblement l'impatience a été trop grande.
Montées comme une bande-annonce, ces premières images de Welcome to New York, encore en tournage il y a quelques jours, nous montrent le monstre sacré du cinéma Gérard Depardieu en homme rongé par son addiction au sexe. En effet, le réalisateur Abel Ferrara "se fiche de l'affaire DSK. Mais quand il était un cinéaste au sommet, il a fait un film pour la Warner. Les cadres du studio se sont aperçus qu'il était héroïnomane. Ils ont jugé qu'il n'était pas fiable et l'ont blacklisté. [...] Sa femme ne voulait pas savoir qu'il se droguait. Vous voyez l'analogie... [...] C'est un film sur l'affliction et la rédemption, comme tous les films de Ferrara. J'ai bien peur que ceux qui guettent le scandale en soient pour leurs frais," expliquait à Télérama le producteur et distributeur Vincent Maraval.
Dans le rôle de l'épouse, Jacqueline Bisset, dont l'allure fait indéniablement écho à l'ex-femme de Dominique Strauss-Kahn, Anne Sinclair. L'actrice prend la relève d'Isabelle Adjani, qui a préféré se retirer de cette aventure dont le financement a été plus que compliqué : "Nous n'avons pas un sou français. C'est pourtant un sujet porteur vu le nombre d'articles qui lui sont consacrés depuis deux ans... L'État français n'a pas eu besoin d'appeler les chaînes de télé pour leur dire de ne pas y aller. Le zèle mal placé des petits décideurs suffit," a ajouté Vincent Maraval.
Payé "zéro euro" pour ce rôle, Gérard Depardieu va par ailleurs tourner dans deux films en Tchétchénie et payera ses impôts en Russie - il a la nationalité russe depuis janvier -, selon une annonce d'officiels russes. Dans l'agenda de l'acteur, un thriller avec Elizabeth Hurley et une biographie des Kadyrov dans lequel il interprétera le rôle d'Akhmad, le père de l'actuel président Ramzan Kadyrov, leader tchétchène. Enfin, selon le ministre de la Culture de la Mordovie, Valeri Maressiev, un centre culturel qui portera le nom de l'acteur français ouvrira bientôt ses portes à Saransk.
"Welcome to New York" - Depardieu dans le rôle... par thony911
Film-événement, Welcome to New York se dévoile encore un peu plus. Tandis que l'affiche teaser de ce long-métrage qui s'inspire du scandale DSK est visible dans les rues de Cannes, le directeur de la photographie du metteur en scène, Ken Kelsch, a posté les premiers extraits du projet sulfureux d'Abel Ferrara (Bad Lieutenant). Une vidéo qui devait être vue lors du Festival, mais visiblement l'impatience a été trop grande.
Montées comme une bande-annonce, ces premières images de Welcome to New York, encore en tournage il y a quelques jours, nous montrent le monstre sacré du cinéma Gérard Depardieu en homme rongé par son addiction au sexe. En effet, le réalisateur Abel Ferrara "se fiche de l'affaire DSK. Mais quand il était un cinéaste au sommet, il a fait un film pour la Warner. Les cadres du studio se sont aperçus qu'il était héroïnomane. Ils ont jugé qu'il n'était pas fiable et l'ont blacklisté. [...] Sa femme ne voulait pas savoir qu'il se droguait. Vous voyez l'analogie... [...] C'est un film sur l'affliction et la rédemption, comme tous les films de Ferrara. J'ai bien peur que ceux qui guettent le scandale en soient pour leurs frais," expliquait à Télérama le producteur et distributeur Vincent Maraval.
Dans le rôle de l'épouse, Jacqueline Bisset, dont l'allure fait indéniablement écho à l'ex-femme de Dominique Strauss-Kahn, Anne Sinclair. L'actrice prend la relève d'Isabelle Adjani, qui a préféré se retirer de cette aventure dont le financement a été plus que compliqué : "Nous n'avons pas un sou français. C'est pourtant un sujet porteur vu le nombre d'articles qui lui sont consacrés depuis deux ans... L'État français n'a pas eu besoin d'appeler les chaînes de télé pour leur dire de ne pas y aller. Le zèle mal placé des petits décideurs suffit," a ajouté Vincent Maraval.
Payé "zéro euro" pour ce rôle, Gérard Depardieu va par ailleurs tourner dans deux films en Tchétchénie et payera ses impôts en Russie - il a la nationalité russe depuis janvier -, selon une annonce d'officiels russes. Dans l'agenda de l'acteur, un thriller avec Elizabeth Hurley et une biographie des Kadyrov dans lequel il interprétera le rôle d'Akhmad, le père de l'actuel président Ramzan Kadyrov, leader tchétchène. Enfin, selon le ministre de la Culture de la Mordovie, Valeri Maressiev, un centre culturel qui portera le nom de l'acteur français ouvrira bientôt ses portes à Saransk.
Re: Affaire DSK: sur le tapis rouge de Cannes
Pas terrible la B.A.
Depardieu ne ressemble pas du tout à DSK.
Joris- Bibiche team stars
Re: Affaire DSK: sur le tapis rouge de Cannes
Qui est Myriam L’Aouffir, la nouvelle compagne de Dominique Strauss-Kahn ?
Les présentations sont faites
Qui est Myriam L’Aouffir, la nouvelle compagne de Dominique Strauss-Kahn ?
Samedi soir, Dominique Strauss-Kahn est arrivé sur la Croisette au bras d’une femme blonde vêtue d’une robe dos nu noire : Myriam L’Aouffir est officiellement sortie de l’ombre.
Tout savoir sur Dominique Strauss-Kahn
Le Festival de Kahn, c’était samedi soir à 21h15. Dominique Strauss-Kahn a monté les marches avec sa nouvelle compagne pour la projection d’Only lovers left alive de Jim Jarmusch. Cette femme blonde moulée dans une longue robe noire dos nu, nous vous avions déjà donné son nom : Myriam L’Aouffir (« Merci à tous ceux qui n’ont pas omis l’ “ ’ ” #apostrophe :-) Bon dimanche », tweetait-elle le lendemain de son passage sur la Croisette), vous ne connaissez pas tous encore son parcours.
Née au Maroc où elle a passé toute son enfance et son adolescence jusqu’en 1985, l’année de son baccalauréat, Myriam L’Aouffir a grandi à Rabat. Diplômée de lettres modernes, d’Audiovisuel et de Sciences de l’information et de la communication, elle est arrivée en France où elle a étudié à l’Université Paul Valéry de Montpellier avant de passer par l’Université Paris VIII. Après, un premier passage chez France télévisions, elle quitte l’organisme public pour prendre en charge les Relations extérieures à l’Ambassade du Maroc et s’occupe à cette occasion de la candidature de la ville de Tanger à l’exposition internationale de 2012. Elle passera ensuite une année chez Aides, l’association de lutte contre le sida, avant de retourner chez France Télévisions. Cette businesswoman de 45 ans est depuis janvier 2010 responsable communication online & social media marketing, manager à France Télévisions, comme elle l’a « simplement » écrit dans sa courte bio Twitter. En clair, elle est chargée de la communication de l’ensemble des chaînes du groupe sur le net et les réseaux sociaux.
Investie dans l’humanitaire, Myriam L’Aouffir est également présidente de l’association Juste pour eux dont la mission est de « concevoir et réaliser des opérations humanitaires, d’aide au développement et de sensibilisation des citoyens à leur environnement social ». Elle travaille en particulier sur l’alphabétisation et la scolarisation des plus jeunes dans des régions défavorisées.
En septembre dernier, le magazine VSD publiait des photos de Dominique Strauss-Kahn avec Myriam L’Aouffir revenant de quelques jours de vacances en Corse. Huit mois plus tard, leur love story est toujours d’actualité, et ils ont choisi de la médiatiser.
Les présentations sont faites
Qui est Myriam L’Aouffir, la nouvelle compagne de Dominique Strauss-Kahn ?
Samedi soir, Dominique Strauss-Kahn est arrivé sur la Croisette au bras d’une femme blonde vêtue d’une robe dos nu noire : Myriam L’Aouffir est officiellement sortie de l’ombre.
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Le Festival de Kahn, c’était samedi soir à 21h15. Dominique Strauss-Kahn a monté les marches avec sa nouvelle compagne pour la projection d’Only lovers left alive de Jim Jarmusch. Cette femme blonde moulée dans une longue robe noire dos nu, nous vous avions déjà donné son nom : Myriam L’Aouffir (« Merci à tous ceux qui n’ont pas omis l’ “ ’ ” #apostrophe :-) Bon dimanche », tweetait-elle le lendemain de son passage sur la Croisette), vous ne connaissez pas tous encore son parcours.
Née au Maroc où elle a passé toute son enfance et son adolescence jusqu’en 1985, l’année de son baccalauréat, Myriam L’Aouffir a grandi à Rabat. Diplômée de lettres modernes, d’Audiovisuel et de Sciences de l’information et de la communication, elle est arrivée en France où elle a étudié à l’Université Paul Valéry de Montpellier avant de passer par l’Université Paris VIII. Après, un premier passage chez France télévisions, elle quitte l’organisme public pour prendre en charge les Relations extérieures à l’Ambassade du Maroc et s’occupe à cette occasion de la candidature de la ville de Tanger à l’exposition internationale de 2012. Elle passera ensuite une année chez Aides, l’association de lutte contre le sida, avant de retourner chez France Télévisions. Cette businesswoman de 45 ans est depuis janvier 2010 responsable communication online & social media marketing, manager à France Télévisions, comme elle l’a « simplement » écrit dans sa courte bio Twitter. En clair, elle est chargée de la communication de l’ensemble des chaînes du groupe sur le net et les réseaux sociaux.
Investie dans l’humanitaire, Myriam L’Aouffir est également présidente de l’association Juste pour eux dont la mission est de « concevoir et réaliser des opérations humanitaires, d’aide au développement et de sensibilisation des citoyens à leur environnement social ». Elle travaille en particulier sur l’alphabétisation et la scolarisation des plus jeunes dans des régions défavorisées.
En septembre dernier, le magazine VSD publiait des photos de Dominique Strauss-Kahn avec Myriam L’Aouffir revenant de quelques jours de vacances en Corse. Huit mois plus tard, leur love story est toujours d’actualité, et ils ont choisi de la médiatiser.
Re: Affaire DSK: sur le tapis rouge de Cannes
DSK officialise avec sa compagne sur le tapis rouge de Cannes
Les feux de la rampe
DSK officialise avec sa compagne sur le tapis rouge de Cannes
L'ex-président du Fonds monétaire international Dominique Strauss-Kahn a monté le tapis rouge en compagnie de Myriam L'Aouffir.
Sa vie doit être prochainement porté à l’écran mais c'est bien lui qui a emprunté le tapis rouge. Large sourire aux lèvres, vraisemblablement heureux de l’effet de surprise qu’il a provoqué, l’ex-président du FMI, Dominique Strauss-Kahn, s'est invité sur le tapis rouge samedi soir au festival de Cannes, avec Myriam L’Aouffir, sa compagne.
Arrivé quelques minutes après l’acteur français Alain Delon, l’ancien patron du FMI montait les marches pour la projection du dernier film en compétition, Only Lovers Left Alive de Jim Jarmusch, qui met en scène des vampires du XXIe siècle.
L’année prochaine, c’est peut-être un film racontant l’histoire de sa chute pour la course à la présidentielle qui sera diffusé au festival de Cannes. La bande-annonce du film d'Abel Ferrara sur le scandale DSK (1 minute 43 secondes de teasing rythmé par des basses électroniques, des gémissements et par la voix de Gérard Depardieu), était apparue sur internet au premier jour du festival la semaine dernière.
À la fin de la bande-annonce, une femme de ménage entre dans la suite 2806 du Sofitel de New York, et tombe sur un Gérard Depardieu sortant de la douche, uniquement vêtu d’une serviette. Une scène qui devrait lancer une grosse polémique à la sortie du film.
Les feux de la rampe
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L'ex-président du Fonds monétaire international Dominique Strauss-Kahn a monté le tapis rouge en compagnie de Myriam L'Aouffir.
Sa vie doit être prochainement porté à l’écran mais c'est bien lui qui a emprunté le tapis rouge. Large sourire aux lèvres, vraisemblablement heureux de l’effet de surprise qu’il a provoqué, l’ex-président du FMI, Dominique Strauss-Kahn, s'est invité sur le tapis rouge samedi soir au festival de Cannes, avec Myriam L’Aouffir, sa compagne.
Arrivé quelques minutes après l’acteur français Alain Delon, l’ancien patron du FMI montait les marches pour la projection du dernier film en compétition, Only Lovers Left Alive de Jim Jarmusch, qui met en scène des vampires du XXIe siècle.
L’année prochaine, c’est peut-être un film racontant l’histoire de sa chute pour la course à la présidentielle qui sera diffusé au festival de Cannes. La bande-annonce du film d'Abel Ferrara sur le scandale DSK (1 minute 43 secondes de teasing rythmé par des basses électroniques, des gémissements et par la voix de Gérard Depardieu), était apparue sur internet au premier jour du festival la semaine dernière.
À la fin de la bande-annonce, une femme de ménage entre dans la suite 2806 du Sofitel de New York, et tombe sur un Gérard Depardieu sortant de la douche, uniquement vêtu d’une serviette. Une scène qui devrait lancer une grosse polémique à la sortie du film.
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