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La commission supérieure d'appel de la Fédération française a choisi d'alourdir la sanction de Leonardo. Initialement suspendu pour neuf mois, le directeur sportif du PSG ne pourra pas exercer de fonctions officielles jusqu'au 30 juin.

faits d'étape : abandon du français Bouhanni après plusieurs jours de galère ; D.Impey , 1er coureur Sud Africain à être en tête d'un Tour de France .

elle a battu la belge Kirsten Flipkens .

Sept ans après Amélie Mauresmo, Marion Bartoli ajoute son nom au palmarès de Wimbledon ! La Française a dominé Sabine Lisicki en finale (6-1, 6-4) et remporte le premier tournoi du Grand Chelem de sa carrière.

elle a fait un tournoi parfait, surclassant ses adversaires physiquement et en vitesse. Elle a mené 5-1 dans le dernier set avant que Lisicki se reprenne pour revenir à 5-4 . Un dernier jeu parfait lui a permis de conclure cette finale .

 bravo Marion !

faits d'étape : après avoir maîtrisé la course Fromm a réussi à s'échapper dans la dernière montée pour gagner en solitaire .

faits d'étape : nombreuses attaques dans la montagne qui a isolé Froom. Le maillot jaune a fait beaucoup d'effort pour répondre à toutes les attaques.

l'écossais Andy Murray gagne Wimbledon contre Djokovic sur le score de 6-4 , 7-5 , 6-4

Marion Bartoli et Andy Murray au bal célébrant les vainqueurs de Wimbledon à l' InterContinental Park Lane hôtel de Londres.


Marion dans ses itw confiait avoir une passion pour les chaussures. Elle le montre ...

Finalement, c'était Marion Bartoli la braqueuse. A la dérive depuis des mois, elle a réalisé un casse de génie à Wimbledon pour soulever son premier Majeur. Sur une surface parfaite pour son jeu, sauvée par l'équipe de France d'un isolement et d'une crise personnelle devenus intolérables, la nouvelle 7e mondiale a défié tous les préjugés pour s'imposer. «J'ai eu des moments difficiles et je suis retournée vers mon père parce que je me sentais perdue. Je ne pouvais plus me concentrer, car la situation hors du court était devenue trop difficile et je ne prenais plus de plaisir à jouer. Quand je regardais Amélie Mauresmo pendant le match, je me souvenais de ce qu'elle me disait sur la chaise à Besançon. Cet esprit Fed Cup m'a porté. »

Ce qui l'a aussi porté c'est sa singularité, c'est cette confiance en acier trempé : «Je ne vis pas pour ce que les gens disent ou écrivent, et le respect que j'ai eu après ma victoire c'est ça que je vais garder. Maintenant je pense qu'on va dire que je peux jouer du grand tennis. Je n'ai jamais eu peur d'être spéciale, je suis facile à vivre, plutôt drôle, même si sur le court je veux tellement gagner que je peux être ''mauvaise'' (rire).» La faillite des cadors explique aussi sa victoire. Victoria Azarenka exceptée (blesséee), toutes les autres se sont ratées : Serena Williams, Maria Sharapova s'est inexplicablement évaporée. Petra Kvitova et Agnieszka Radwanska, devenues favorites, n'ont mentalement pas été à la hauteur.

En 2007, on disait que Bartoli ne jouerait plus jamais une finale de Grand Chelem. En 2013, on dit qu'elle ne gagnera plus jamais un autre Majeur. Mais pourquoi pas ? «L'US Open va être mon objectif de l'été», confiait-elle ainsi. «C'est à Wimbledon et à l'US Open qu'elle va le mieux s'exprimer, pense Mauresmo. Roland-Garros c'est difficile sur terre battue et l'Australie il y a des conditions parfois extrêmes. Mais elle peut surfer sur une vague de confiance, de réussite où tout s'enclenche parfaitement.» Bartoli confirme : «J'ai tellement d'échéances, tellement de choses qui me tiennent à coeur que ma motivation va être décuplée. Maintenant je sais que je peux le faire».

Bartoli va devoir stabiliser sa structure, ce dont elle a déjà prévu de parler avec la FFT, et gérer son nouveau statut. Quelles retombées, financières et de popularité, peut-elle espérer ? «Je ne sais pas si ça va être énorme en France mais ça ne changera rien : je suis une gagnante de Grand Chelem pour toujours». Pour la première fois depuis la retraite de Mauresmo, les têtes se sont relevées dans les rangs du tennis féminin français. Le triomphe de Bartoli devrait aussi servir d'exemple à ces messieurs. Une victoire en Majeur n'a pas de genre : c'est une histoire de volonté, de confiance et de travail acharné.
Carole BOUCHARD, à WImbledon

faits d'étape : arrivée mouvementée au sprint . Cavendish aurait poussé du coude un coureur qui aurait chuté . Une enquête est en cours .

classement étape


classement général


résumé du jour : Froom confirme son leadership. Les français ont confirmé leurs places au classement .

Historiques Bleuets !

L'équipe de France des moins de 20 ans a souffert contre le Ghana (2-1) mais obtenu, grâce à un doublé de Thauvin et un bon Aréola dans le but, son billet pour la première finale mondiale de l'histoire des Bleuets. Rendez-vous samedi contre l'Irak ou l'Uruguay.



Ils ont commencé comme des flèches, marqué au bon moment (juste avant la pause), souffert vingt bonnes minutes en seconde période, avant de trouver en Florian Thauvin leur héros libérateur, la frappe gagnante du Lillois à la 74e les propulsant vers un rendez-vous historique : les Bleuets, difficiles vainqueurs (2-1) d'une équipe du Ghana diminuée par trois suspensions mais constamment dangereuse, se sont qualifiés mercredi pour la première finale mondiale d'une sélection française des moins de 20 ans. Ce sera à Istanbul, samedi (20h00), sans le Lyonnais Umtiti, expulsé pour un deuxième carton jaune, très sévère, en fin de rencontre (80e).
Antwi puis Aréola multiplient les paradesPogba (frappe des 25 mètres, 4e), Digne (frappe croisée, 6e), Sanogo (double tir de près, 12e) Thauvin (frappe cadrée 15e)... Les occasions françaises ont plu dans le premier quart d'heure sur le but d'Antwi. Il n'était pas illogique de voir survenir, après un une-deux avec Bahebeck, le premier but de Thauvin, intelligent sur sa dernière feinte face à l'excellent gardien ghanéen (43e). Une rare alerte africaine sur le but d'Areola (tête renversée d'Acheampong, 45e) annonçait cependant la suite... Dès la reprise, Assifuah a trouvé la lucarne (1-1, 47e) et plongé les Bleuets dans la fébrilité : Areola a dû s'employer sur un coup franc qui prenait le chemin de la lucarne (Acheampong, 50e) et une tête à bout portant sur le corner qui a suivi (Anaba, 51e).
Frissons sur le camp françaisSai a remplacé Antwi dans le but des Black Satellites à la pause, suite à la blessure au pied du titulaire, touché en première période dans un contact avec Foulquier. Il n'a guère été inquiété au début. Thauvin a gâché deux ballons : un centre sur le gardien alors qu'il avait des solutions en retrait (63e), puis une frappe trop enlevée après s'être ouvert un bon angle tir à l'entrée de la surface (68e). A l'inverse, les Ghanéens, nullement affectés par leur match au couteau contre le Portugal en 8e (3-2), 120 minutes en quarts contre le Chili (4-3 a.p.) et un jour de récupération en moins, ont fait peur au camp français, désorganisé en milieu de terrain. Surtout lorsque Acheampong a armé un violent centre que Assifuah aurait pu pousser dans le but (72e). Un nouveau ballon cafouillé par Kondogbia dans la minute suivante augurait mal de la fin de match des hommes de Pierre Mankoswki. Mais Thauvin a prouvé qu'il était l'homme du jour en marquant, contre le cours du jeu, un deuxième but décisif, sur une frappe décroisée des 20 mètres (74e). En finale, les Bleuets affronteront le vainqueur de l'autre demie, qui opposera l'Irak à l'Uruguay (20h00).

Arrivée à Tours


classement étape


classement général


faits de course : encore une arrivée au sprint qui voit la 3 eme victoire de Kittel . M. Cavendish n'arrive plus à remporter un sprint. La commission de course à blanchit Cavendish jugeant que c'est le sprinter tombant qui a fait une erreur .